Exposition à l’Hotel Montulé de Dreux du 14 octobre 2015 au 31 janvier 2016.
–
Extrait du dossier de presse :
Le plaisir d’une énigme est dans la quête, dans la recherche beaucoup plus que dans la solution. Cette exposition propose à chaque visiteur de réinventer, de redessiner la figure de l’acteur disparu, de se rapprocher pudiquement de cet homme unique et en même temps différent et pareil à tous les autres.
La partie la plus importante du projet se situe au rez-de-chaussée de l’Hôtel Montulé. On y découvre dès le jardin des affiches de films en une haie d’honneur, puis dans les salles cette passionnante vie. En coulisse, vous trouverez: tableaux, dessins de ses proches, documents rares prêtés par la Cinémathèque française, Les Films 13 (Lelouch), la Bibliothèque nationale de France, mais aussi par ses deux enfants, Ethel et Charlet.
Le spectateur pénètre sur le plateau de tournage et s’imprègne totalement du jeu de l’acteur : sa biographie, mêlant vie privée, anecdotes, théâtre et cinéma, défile de façon synchronisée sur un mur et deux réflecteurs. « Ça ne se voyait pas forcément à l’écran mais c’était un garçon très drôle, très déconnant, mais aussi avec une profonde tristesse dans le fond. Un vrai clown, au sens noble du terme. » (Claude Chabrol). Ce lien privilégié, ainsi créé, invite également à faire découvrir Charles Denner à une nouvelle génération pour laquelle, il demeure encore largement méconnu.
Denner dans la ville
Les Drouais sont sur la piste de Charles Denner. Sur des façades, vitrines, ponts, cabines téléphoniques, la silhouette des personnages de l’acteur apparaîtra dans la ville. Ce parcours, illustré et accompagné de citations, nous entraîne jusqu’au Ciné Centre, en passant par le foyer du Théâtre où une loge reproduira l’espace intime de l’acteur. »
–
Spécificités :
Exposition de documents liés à la vie de Charles Denner.
Espace de 100m2 débordant dans toute la ville.
–
Contrainte :
Espace principal exigu.
–
Rôles dans le projet :
Scénographie de l’exposition.
Fabrication, montage .
Eclairage des oeuvres et mise en lumière des espaces.
Suivi de production de l’exposition.
Graphisme de Stéphane Rébillon.
Montage vidéo de Mike Baudoncq.
–
