Pleine face

Exposition de photographies de Jean-Luc Fiévet au Compa à Chartres du 18 novembre 2016 au 26 mars 2017.

Extrait du dossier de presse :
« La photographie pour moi, c’est l’exploration constante d’émotions intenses, de la sensualité, de la réalité qui m’entoure et des rêves qui m’habitent… » Jean-Luc Fiévet.
Pour sa première exposition depuis la réouverture du musée en mai dernier, le Compa accueille Jean-Luc Fiévet. Ce photographe d’origine chartraine établi à New-York opère un retour aux sources en venant exposer au Compa. Il présente une série de portraits, principalement en noir et blanc, d’hommes et de femmes de New-York, Paris et ailleurs. Avec cette exposition, le Compa s’affirme comme un lieu vivant pour l’art contemporain et interroge les rapports complexes entre ville et campagne.  L’exposition présente une douzaine de portraits grand format qui s’offre aux visiteurs sur la mezzanine, au sein du musée. Les clichés choisis et exposés se suivent et ne se ressemblent pas. La figure humaine s’invente sous le regard d’un photographe metteur en scène de ses sujets. Les effets de cadrage, de lumière et les angles de vues, obligent à regarder différemment l’autre, qui nous ressemble, avec ses grimaces, qui disent plus qu’elles ne cachent. Afin de pouvoir maitriser la lumière du lieu et mettre en place un éclairage efficace des oeuvres, l’espace d’exposition a été couvert par un fond plafond suspendu. Le visiteur est invité à déambuler au milieu de cette série de portraits, tout en admirant la vue plongeante sur la grande nef d’exposition des machines agricoles et sur l’architecture métallique « style Eiffel » de cette magnifique rotonde SNCF, datant de 1905.
Jean-Luc Fiévet est originaire de Chartres, Jean-Luc Fiévet vit et travaille à New-York comme photographe de mode depuis plus de 30 ans. Issu d’une famille de photographes bien connue de générations de chartrains, son parcours le mène de Montargis à Brou en Eure-et-Loir, puis à la villa d’Alésia à Paris, sa ville de cœur, où il se tourne vers la photographie de mode pour de grands magazines et commence à se passionner pour les portraits.

Spécificités :
Espace de 165 m2.
Première exposition dans cet espace rénové.

Contraintes :
Lumière naturelle difficilement maitrisable (dérière une grande façade vitrée).
Présence forte de la charpente métallique du lieu.

Rôles dans le projet :
Scénographie.
Fabrication, montage et accrochage.
Eclairage des photographies.
Graphisme de Stéphane Rébillon.